La période de gloire du brutalisme correspond à la fin de la Seconde Guerre mondiale jusqu’aux années 70, avec l’expansion du postmodernisme. Bien que ce courant réunisse des architectes dont la singularité et les intérêts s’avèrent très variés, tous restent préoccupés par la puissance formelle, qui s’inscrit dans des volumes massifs et complexes.
